Le cabinet Montpensier représentait les intérêts d’une élue au conseil municipal de la mairie de Corbeil-Essonnes dont la plainte se trouvait à l’origine de l’affaire dite des « achats de votes de la mairie de Corbeil-Essonnes ».
Le tribunal correctionnel de Paris a, dans cette affaire, déclaré coupables les personnes qui se trouvaient renvoyées devant lui et a accueilli la constitution de partie civile de la plaignante qui se trouvait représentée par le cabinet Montpensier.
Les prévenus ont toutefois relevé appel de ce jugement.